Deux personnages extravagants, pathétiques et drôles pour une autre façon de dire l’absurdité de la guerre.
Deux soldats, une position à tenir, une guerre qui n’a pas de nom, et qui n’en finit pas… Hans attend de revoir sa fille Natasha, celle qui porte le vin de la vie.
Gerd retrouvera sa sœur, celle qui lui tricote ses bonnets et ses culottes en laine.
Dans le viseur du fusil, le lapin qui fera le repas de midi. Hans vise la tête. Gerd n’est pas d’accord, la tête c’est le meilleur!
La pièce est un dialogue entre deux êtres très différents. Elle nous parle d’amour, de mort, de guerre, de religion, de solitude, de tendresse, et aussi du théâtre, de la poésie. Au fond, c’est une pièce sur la paix.
« Commémorer, c’est parler la langue des anonymes » François Hollande / novembre 2013
Par le Théâtre de l’Accalmie
Texte Jean-Louis Bourdon
Mise en scène Jean-Marc Galéra
Avec Jean-Marc Galéra, Delmiro Iglesias
« L’écriture, d’une grande humanité, est portée par le jeu magistral des comédiens… Passant du rire à l’émotion, les spectateurs sont amenés avec subtilité à une réflexion sur ce qui déchire les êtres et les peuples » Dauphiné Libéré
« Drôle et poignant… Un pastiche de la guerre, comme un hymne à la paix. » Journal du Centre